C’est un fait, devenir auto entrepreneur peut s’avérer un peu obscur pour un novice en la matière. Pourtant, ce statut bien spécifique a été conçu pour être allégé en comparaison d’autres structures d’entreprise. Alors quelles sont les opportunités de l’auto-entreprise, et comment en tirer parti ? On vous explique tout au cours de cet article ! (suite…)
La société collective fait partie des différents types qu’une société pourrait avoir. Connaissez-vous ses caractéristiques et ses réglementations ? Dans cet article, on s’étalera davantage sur ce type de société en particulier.
La société de gestion ayant une activité commerciale (régie par le code de commerce) et composée d’au moins deux associés.
Ce sont eux qui constitueront le principal organe décisif de la société en ce qui concerne la constitution de la société, les modifications subsidiaires ultérieures et la cessation ou la disparition de l’activité.
On verra ensuite plus en détail quelles sont les caractéristiques de la société de gestion collective.
La caractéristique la plus remarquable de la société de gestion collective est que les associés ont des participations égales dans celle-ci, ce qui est essentiel. Bien qu’elle ait une indépendance financière, dans le cas de dettes contractées, les associés doivent répondre de manière subsidiaire et illimitée, avec leurs propres avoirs.
Pour cette raison, de nombreux professionnels préfèrent opter pour un autre type de formules avantageuses ne présentant pas autant de risques pour les associés, comme c’est le cas pour la société anonyme, dans laquelle seul le patrimoine social est pris en compte lors de la contraction de dettes.
Au sein des collaborateurs qui composent l’entreprise, on peut distinguer : le collaborateur apporteur de capitaux à la société et le partenaire industriel (celui qui développe l’activité professionnelle sous forme de services, de travail, etc.). Il existe une différence majeure entre ces deux types de collaborateurs, à savoir que les collaborateurs industriels ne doivent pas intervenir dans les pertes de la société sauf accord convenu préalablement.
L’un des avantages de la société de gestion réside dans le fait que sa constitution ne nécessite pas de capital minimum, de sorte que les procédures d’enregistrement sont simplifiées et mises à la disposition des professionnels ne disposant pas de suffisamment de ressources pour l’entame de leur activité.
Dans le volet fiscal, ce type de société est soumis à l’impôt sur les sociétés.
Avant de s’associer avec d’autres personnes, il est nécessaire de connaître les avantages et les inconvénients de ce type de société.
Voici quelques avantages de ce type de société :
Comme toutes les formes juridiques, les sociétés de gestion présentent également une série d’inconvénients pour les personnes qui choisissent cette formule. A titre d’exemple :
Suivre certaines étapes est nécessaire pour créer une société de gestion collective à savoir :
La société de gestion collective était l’une des formules populaires choisies pour créer des petites entreprises. Cependant, à l’heure actuelle, elle est progressivement tombée en désuétude en raison des obstacles au maintien de la responsabilité illimitée des associés, outre le coût relatif aux démarches nécessaires à la création d’une telle société.
Sans aucun doute, il n’existe pas une unique formule pour créer une société commerciale, mais plutôt plusieurs. Le choix d’une formule est tributaire de la nature de l’activité de la société à créer, les capitaux des associés et les objectifs commerciaux à atteindre.
La société anonyme (SA) est une forme de société caractérisée par la répartition du capital social sous forme d’actions, qui peut être librement transmis entre les associés. Parmi les différents types de sociétés qui existent, ce type en particulier n’est généralement pas utilisé par les entrepreneurs et les startups car il nécessite un capital social élevé.
En revanche la société anonyme présente de nombreux avantages pour les professionnels qui optent pour cette forme de société. Pour preuve, pendant de nombreuses années, ça a été l’option privilégiée des moyennes et grandes entreprises.
La société anonyme se caractérise par le fait qu’elle ne requiert pas un nombre minimal d’associés et qu’il est possible de créer une société à actionnaire unique si le créateur est une seule personne.
Chacun des associés ayant apporté des capitaux lors de la création de la société aura le droit bénéficier des avantages suite à sa liquidation, en fonction de leur quota de participation, de l’achat de nouvelles actions, de l’information sur les décisions et du vote aux différentes assemblées.
Pour cette raison, de nombreux entrepreneurs souhaitant démarrer leur activité avec de petites ou moyennes entreprises préfèrent opter pour des formes juridiques plus simples telles que la société à responsabilité limitée (sarl).
La responsabilité vis-à-vis de l’entreprise est une question importante à souligner. La responsabilité des fondateurs s’étend aussi aux actionnaires.
La société anonyme présente différents avantages pour les activités commerciales des moyennes et grandes entreprises.
La SA présente quelques inconvénients à savoir :
Ce type d’entreprise commence par une importante injection de liquidités qui lui permet de conserver une structure hiérarchique complexe. Surtout dans les entreprises qui ont nombre important d’équipements, de machines, de fournisseurs et de clients.
De toute évidence, dans certains secteurs liés à l’émergence de grandes entreprises, La SA est une bonne alternative pour maintenir la confiance et offrir une image plus professionnelle et compétitive, dans un domaine où la taille de l’entreprise est crucial.
De nombreux entrepreneurs souhaitant se lancer en tant qu’entrepreneurs individuels ont appréhendent certaines obligations en l’occurrence d’ordre fiscal par exemple.
Bien sûr, il existe différents types d’entreprises dont chacun présente un certain nombre d’avantages et d’inconvénients. Ainsi, les connaître vous aidera à mieux choisir la forme juridique la plus adaptée à votre entreprise.
Le statut de travailleur indépendant est connu sous le nom d’entrepreneur individuel et se caractérise par le fait de facturer en tant que personne physique. Les électriciens, les menuisiers ou les rédacteurs indépendants qui travaillent seuls sont quelques exemples d’entrepreneurs individuels.
Bien que l’image du travailleur indépendant soit généralement liée au travail individuel, la vérité est qu’il n’existe aucun obstacle à l’embauche d’employés qui se joignent à l’équipe. Par conséquent, les travailleurs indépendants peuvent créer des emplois comme c’est le cas pour les sociétés.
L’activité du professionnel indépendant est réglementée et soumise aux dispositions générales du Code de commerce en matière commerciale et aux dispositions du Code civil.
La principale caractéristique de ce statut est la responsabilité illimitée qui lui incombe en raison de son activité commerciale.
Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? En cas de dettes envers l’administration fiscale ou des tiers, les travailleurs indépendants doivent répondre de leurs avoirs privés, présents et futurs, pour que toutes leurs obligations soient remplies. De même, en cas de mariage, le patrimoine du conjoint est confondu avec celui issu des activités exercées, sauf s’il a exercé une opposition au préalable.
Une autre obligation de ce statut limite le nombre d’associés de l’entrepreneur individuel à un seul, ce qui n’est pas le cas des sociétés anonymes ou limitées qui permettent un plus grand nombre d’associés.
L’entrepreneur individuel n’est pas obligé de s’enregistrer dans le registre du commerce, bien qu’il puisse être avantageux d’enregistrer les données du conjoint ou le régime matrimonial choisi lors du mariage.
De plus, les factures doivent établies en votre nom personnel ne pouvant utiliser le nom de votre une entreprise, comme dans le cas des autres entreprises.
Il existe différents types d’entreprises qui présentent des caractéristiques différentes selon la structure ou l’organisation qu’elle possède. À l’heure actuelle, les entrepreneurs ont également différentes options pour choisir le statut juridique le plus adapté à leur entreprise.
Par conséquent, il est essentiel de connaître les clés qui permettent de choisir la forme juridique appropriée à une entreprise. Dans ce qui suit on se focalisera sur le statut d’entrepreneur à responsabilité limitée.
L’entrepreneur à responsabilité limitée (ERL) est un statut qui permet aux professionnels indépendants de protéger leurs avoirs personnels, malgré la contraction de dettes découlant de leurs activités entrepreneuriales.
Ce statut est très intéressant pour les professionnels qui souhaitent créer une entreprise rapidement et individuellement, mais veulent en même temps se passer de l’un des problèmes les plus importants notamment la responsabilité illimitée.
Le statut d’entrepreneur à responsabilité limitée est apparu suite à la réforme du code du travail relatif aux entrepreneurs, qui apporte de nouveaux changements et une nouvelle vision du monde des affaires et de l’entrepreneuriat.
Si vous voulez connaître davantage sur le statut d’ERL et certains de ses aspects les plus importants, lisez ce qui suit.
Le principal avantage de ce statut est qu’il permet à l’entrepreneur d’éviter que ces actifs personnels ne soient impactés par d’éventuelles dettes envers des tiers.
Cet avantage est malheureusement méconnu de nombreux entrepreneurs qui ignorent la majeure partie des dispositions offertes par la loi pour sauvegarder leur patrimoine, optant pour l’alternative classique des travailleurs indépendants.
Pour bénéficier de ce statut, voici les étapes à suivre :
Le futur entrepreneur doit se rendre au registre du commerce et au registre foncier pour procéder à un acte d’enregistrement et d’information, en indiquant quels sont les biens qui seront exclus de ses activités entrepreneuriales. De cette manière, son logement par exemple ne risque pas d’être saisi en cas de dettes insurmontables.
Quel patrimoine sera principalement protégé, dans le cadre d’un statut d’entrepreneur à responsabilité limitée ? Le bien immobilier dans lequel il vit tant qu’il n’est lié à aucune activité commerciale et dont la valeur est inférieure à 300 000 euros.
Outre le code de commerce dans son secteur d’activité et le code civil, il existe une série de règles et de lois régissant l’activité d’entrepreneur à responsabilité limitée relatives entres autres à ce statut et à d’autres dispositions.
Comme tout autre statut, l’entrepreneur à responsabilité limitée offre à la fois des avantages mais aussi des inconvénients.
Parmi ses avantages :
Responsabilité limitée pour les dettes contractées envers des tiers en raison du développement de l’activité professionnelle.
En ce qui concerne ses inconvénients :
L’entrepreneur à responsabilité limitée est soumis à l’impôt sur le revenu des personnes physiques pour déclarer l’exercice de son activité commerciale.
Comme vous pouvez le constater, même si ce type de statut suppose une protection supplémentaire contre les dettes pouvant être contractées, certaines de ses dispositions ressemblent à celles d’autres formes juridiques de sociétés concernant l’exemption ou l’allègement d’impôts entre autres.
Un entrepreneur est une personne qui identifie une opportunité d’affaires et essaye de se procurer les ressources nécessaires pour la saisir. Sur le plan étymologique, le mot entreprendre contient le verbe « prendre » « prendĕre » en latin qui signifie littéralement prendre. Il est courant d’utiliser ce terme pour désigner une « personne qui crée une entreprise » ou qui trouve une opportunité commerciale, ou une personne qui lance un projet de sa propre initiative.
Mais au-delà, l’entrepreneuriat correspond à une attitude d’une personne lui permettent de relever de nouveaux défis, d’élaborer de nouveaux projets et d’aller plus loin. C’est ce qui rend une personne insatisfaite de ce qu’elle est et de ce qu’elle a accompli et, par conséquent, elle souhaite obtenir de meilleurs résultats.
Par conséquent, le concept d’entrepreneur est irrémédiablement lié à l’idée d’innovation et le goût du risque par quelqu’un qui croit en ses idées et qui est capable de tout mettre en œuvre pour les concrétiser et réaliser ainsi ses rêves.
En fonction de la manière dont chacune des personnes ouvrent pour créer leur entreprise et les fonctions qui s’y développent, on peut distinguer différents types d’entrepreneurs. Chacun d’entre eux a sa propre vision de l’entreprise et contribue de différentes manières à son organisation et à sa gestion afin qu’elle fonctionne parfaitement.
Par conséquent, lors de la création d’une entreprise ayant des activités traditionnelles ou des activités en ligne, les entrepreneurs s’appuient sur leurs compétences, créent des idées novatrices et des modèles commerciaux qu’une personne lambda ne peut faire.
On considère généralement un entrepreneur comme une personne qui identifie une opportunité d’affaires et décide de se procurer les ressources nécessaires pour créer sa propre entreprise, qu’il s’agisse d’une PME ou d’une start-up.
Etre entrepreneur n’est pas une tâche aisée, et ce n’est pas donné à n’importe qui. Créer une entreprise est une aventure qui nécessite certaines qualités.
D’une manière générale, le profil d’entrepreneur exige d’être une personne créative, prenant des risques, flexible, organisée et autodidacte.
Bien que ces caractéristiques varient en fonction des différents types d’entrepreneurs, chaque personne doit mettre toutes les compétences qu’elles jugent nécessaires pour maximiser les chances de réussite de son activité. Voici quelques questions que vous pourrez vous poser avant de démarrer dans l’entrepreneuriat ?
Vous voulez savoir si vous remplissez les conditions requises pour devenir un entrepreneur. Ou quelles étapes devez-vous suivre pour créer une PME ? Quels sont les risques et les obstacles auxquels vous serez confrontés ? Quel est le meilleur secteur dans lequel investir ? Les réponses à ces questions seront d’une grande utilité pour une femme ou un homme qui envisage de se lancer dans la création de sa propre entreprise.
Être entrepreneur est une aventure dans laquelle, quoi qu’il arrive, vous gagnerez toujours car l’apprentissage est la meilleure récompense de ce processus.
Quelques exemples de volets sur lesquels il faudra s’intéresser avant de se lancer dans l’entrepreneuriat.
Commencer une carrière d’entrepreneur n’est pas une tâche facile. Il existe de nombreuses alternatives pour démarrer une entreprise avec un risque plus ou moins grand. Vous pouvez vous lancer dans une activité conventionnelle ou en ligne, à domicile, en investissant beaucoup, ou au contraire, avec un faible investissement. Indépendamment du secteur d’activité, il faut insister sur l’importance des premières années de l’existence d’une entreprise sont essentiels pour assurer sa viabilité à tous les niveaux.
C’est pourquoi les volets suivants sont intéressants pour bien démarrer son entreprise et réussir à la mettre sur pied.
Entreprendre ne signifie pas toujours avoir une idée novatrice et la développer au travers d’une nouvelle entreprise inexistante. Il existe différentes possibilités pour créer une entreprise. Vous pouvez tirer parti du travail déjà effectué par d’autres personnes pour créer votre nouvelle entreprise et en tirer des avantages. Voici quelques pistes :
L’idée commerciale s’articule autour du produit ou du service que le détenteur d’une idée de création d’entreprise souhaite proposer au marché. Elle concerne également les moyens d’attirer des clients potentiels et de générer des bénéfices. C’est l’opportunité commerciale qui, au moment de concrétiser le projet de création d’une PME, fait que celle-ci réussisse ou pas.
Mais il ne suffit pas d’avoir une bonne idée, il faut l’évaluer et vérifier sa faisabilité. Par conséquent, la première étape du parcours de l’entrepreneur consiste à préciser l’idée commerciale et à la décrire aussi précisément que possible. Pour cela, au moment de l’exprimer par écrit, vous devez préciser les points suivants :
1. Description du produit ou du service que vous allez proposer sur le marché.
2. Le besoin que couvre votre produit ou service. Si votre idée d’entreprise couvre un nouveau besoin, vous aurez très peu de concurrence.
3. Clientèle potentielle : A qui s’adresse votre produit ou votre service ? il faut connaître parfaitement les clients cibles.
4. Concurrence : vous devez analyser de manière exhaustive les produits ou les services qu’elle offre, leurs caractéristiques et les méthodes ou stratégies utilisées par les entreprises avec lesquelles vous allez entrer en concurrence sur le marché.
5. Valeur ajoutée : C’est ce qui différenciera votre produit ou votre service par rapport à celui de la concurrence et qui poussera les clients à le choisir.
Les idées de création d’entreprise peuvent être diverses et variées, mais elles visent toutes un objectif commun : trouver le produit ou le service qui donnera envie aux clients de l’acheter. Mais aussi le faire de la manière la plus rentable pour l’entreprise. Autrement dit, appliquez des méthodologies qui vous aident à réduire les coûts au maximum. C’est l’une des bases du concept de « Lean Startup » qui a révolutionné le monde des affaires.
Une fois que vous avez finalisé votre idée de création d’entreprise, l’étape suivante consiste à rédiger l’un des documents les plus importants du parcours de tout entrepreneur, en l’occurrence le business plan. Ce dernier augmente les chances de réussite et diminue drastiquement les risques d’échec. Le business plan est le principal outil de planification pour le démarrage d’une entreprise. Il contribue à accroître les possibilités de créer une activité rentable et, même pour les entreprises déjà présentes sur le marché, il devient un instrument de croissance et de diversification de son activité principale.
Pour élaborer un plan d’affaires, vous devez suivre une série d’étapes et de recommandations plus axées sur la qualité du contenu du document et sur les bonnes méthodologies de sa rédaction. Cependant, il n’y a pas de recette miracle pour réussir en entrepreneuriat et parfois, malgré une bonne planification, il est possible de commettre des erreurs courantes. Pour mettre toutes les chances de votre côté pour réussir, n’hésitez pas à consulter les erreurs fréquentes inhérentes à la création d’une nouvelle entreprise.
Enfin, il est important de garder à l’esprit qu’à long terme, il sera nécessaire de faire connaître les valeurs de votre entreprise auprès des clients. Ça peut être dans le cadre d’une stratégie globale visant à œuvrer constamment à améliorer son image de marque et accroître sa visibilité pour se distinguer de la concurrence.
Si après avoir eu une idée de création d’entreprise, vous n’arrivez pas à estimer les chances de son succès, vous devriez étudier la faisabilité de votre projet commercial. Vous pouvez regrouper toutes les informations pertinentes de votre étude dans un plan qui représentera une sorte de feuille de route à suivre. Ceci vous éclairera sur le degré de rentabilité de votre futur projet.
Le tissu économique de n’importe économie se compose d’une multitude d’entreprises, et sociétés présentant des caractéristiques différentes. Chacune de ces entités possède une acticité qui lui est propre, dispose de modèles d’organisation totalement différents.
Cependant, il est nécessaire de savoir quels sont les différents types de sociétés qui existent pour savoir comment les différencier et les gérer surtout.
Les entreprises peuvent être classées de différentes manières en fonction d’un ensemble de critères tels que la forme juridique, la taille de l’entreprise et la provenance du capital.
La forme juridique détermine le nombre de salariés, le capital et le type de responsabilité de chacun des propriétaires de l’entreprise.
En fonction du nombre de salariés, on distingue les types suivants :
En économie, on recense 3 principaux secteurs d’activité à savoir le secteur primaire, secondaire et tertiaire.
Selon le type de capital utilisé pour la gestion de l’entreprise, on distingue les types suivants :
Souvent on confond entrepreneuriat et travail indépendant, alors qu’il s’agit de deux alternatives pour travailler présentant de nombreuses différences.
Entreprendre c’est créer une entreprise à partir d’une idée de projet qui n’est pas nécessairement nouvelle en prenant en considération les spécificités du marché afin de réussir à surmonter les obstacles inhérents à cette activité. En revanche on peut définir le travail indépendant comme la capacité de générer des performances économiques, à court terme, grâce à la productivité personnelle d’un individu.
Un bon modèle d’entreprise nait de la capacité à entreprendre sur des bases solides. Cette entreprise doit trouver des moyens d’optimiser au maximum ses performances et s’adapter pour maîtriser son environnement. Pour cette raison, certaines des qualités de base requises pour un entrepreneur seront : la passion, la persévérance, l’ingéniosité et la créativité, entre autres.
L’entrepreneur qui possède ces compétences saura bâtir une entreprise performante permettant de se développer et d’attirer rapidement des clients grâce à la qualité de ses produits ou de ses services. D’autre part, une personne qui choisit de travailler pour son propre compte produira toujours et ne pourra pas consacrer assez de temps à la recherche de procédés lui permettant de se différencier. Par conséquent, il ne pourra pas introduire de nouvelles méthodes pour produire de manière plus efficace, ni être en mesure de consacrer le temps nécessaire à la recherche de nouveaux marchés ou à la meilleure façon de communiquer avec ses clients.
Les travailleurs indépendants estiment que leur formation est nécessaire pour développer leur activité. S’ils jugent qu’elle n’est pas suffisante, ils essaieront d’approfondir leurs connaissances et acquérir de nouvelles compétences dans un domaine spécifique. Cependant, l’entrepreneur suit une formation continue dans divers domaines, car il doit être attentif aux nouvelles tendances dans tous les domaines.
Si sa charge de travail est conséquente, un travailleur indépendant peut engager d’autres employés pour l’aider dans certaines tâches mais pas pour prendre sa place. Un entrepreneur qui veut réussir est prêt à engager toute personne qu’il juge qu’elle est mieux qualifiée que lui dans un secteur spécifique, bien que cela implique de lui octroyer un poste à haute responsabilité dans son entreprise.
Pour conclure, le travail indépendant permet avant tout à la personne qui l’exerce de générer des revenus supplémentaires pour sa subsistance. L’entrepreneur quant à lui parvient à s’entourer de compétences dans chaque domaines et en leur déléguant certaines tâches afin que son entreprise puisse fonctionner correctement même pendant son absence. Il dispose donc d’une plus grande liberté.
N’oubliez pas que l’entrepreneuriat n’est pas donné à tout le monde, alors que le travail indépendant est accessible à tous.